Kyoto - Jour 7

 Ce matin on se lève tôt !

On tente d’aller dans le quartier de Gion mais en évitant le monde : challenge, il faut arriver avant 8h. Tout va bien, jusqu’au moment de prendre les transports ; Mây n’a pas sa carte magique pour prendre le bus. Ok, on s’arrête à une station pour en refaire une, mais ce détour coûte cher : on prends beaucoup de temps ET ma propre carte magique que j’ai du laisser sur place par inadvertance.

Je suis sûre que si je retrouve la station, je récupère la carte sans problème, mais évidemment on s’est rendus compte de ça en sortant du bus de l’autre côté de la ville. Il est déjà tard, et sur les parkings en contrebas du quartier, et surtout du temple de Kiyomizu-dera, les bus s’accumulent. Des cars entiers de Chinois et d’écoliers Japonais remontent la rue marchande.

Pour couronner le tout, mon appareil foire de nouveau.

C’est la déch. En voulant le réparer comme l’autre fois, JP fait sauter une petite barrette de connexion de la batterie.

En temps normal serais en train de pleurer, mais là je suis juste deg.

Pas grave, on monte la rue quand même pour voir si on arrive à dégager quelque chose de cette matinée, mais on se marche dessus et on rebrousse chemin.

 

Il y a d’autres temples à voir, notamment, le Kodai-ji, temple bouddhiste qui nous a donné du fil à retordre, mais amusant à faire, avec sa statue de veau :

Pas le plus foufou, alors on continue à marcher là, on arrive à quelque sur autre chose !

Yasaka Jinja ! Super grosse structure en bois peint de rouge, avec une multitude de petits sanctuaires divers et variés répartis tout autour. Beaucoup de fidèles se succèdent pour faire leur prière, c’est beau à voir !

Bon allez c’est l’heure de manger, on fait quelques pas sur la rue principale avant de passer les portes du Tsukemono sur la rue Shijo. Très bon, un peu cher, mais dans le budget. Les filles se régalent avec de vraies korokke ! Les gérants ont prévu des paniers pour que les clients mettent leurs achats à côté des tables, vu la réputation mercantile du coin.

Pour le dessert, melon-pan glacé repéré en arrivant ; le pâtissier fait les petits pains sucrés à l’arrière, sous une tente, et sa femme les coupe et les bourre de glace vanille ou macha. Je crois que c’est le seul truc pâtissier qu’ils savent bien faire haha.

Après midi on a décidé d’aller tenter le tout pour le tout dans un magasin d’appareil photo, voir s’ils peuvent faire quelque chose pour mon canon.

 Et en fait, il se trouve que c’était ma batterie, achetée une petite fortune chez un revendeur Fnac, qui était en fait une contrefaçon. Résultat : on achète deux batteries d’occasion pour 1000 JPY (moins de 6 euros) et c’est reparti comme en 40 !

Je vous fait l’aprem demain !